Entre 40 et 60 ans, la femme se trouve confrontée au moment où elle devient inapte à procréer. Le choc que peut provoquer ce changement d’état chez la femme se répercute aussi sur sa sexualité. Mais cette répercussion est essentiellement psychologique. Physiologiquement, sur le plan exclusivement sexuel, hormis parfois la lubrification, il ne se passe rien. Il est donc tout à fait possible de poursuivre, ou de reprendre avec l’aide d’un sexothérapeute, sa vie de femme avec même une nouvelle approche de sa sexualité. Celle-ci, débarrassée de sa dimension procréative, permet une concentration totale et unique sur sa dimension orgasmique.
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Le désir, le plaisir et la masturbation féminine
Effacer les effets de la ménopause sans médicaments, est-ce possible? Cette émission d' "Allô Docteurs" traite ce sujet d'une façon assez complète.
